Leah Black - Professeur de Philosophie

Ici, écris le physique de ton personnage. Je veux minimum 5 lignes.

Ici, écris le caractère de ton personnage. Je veux minimum 5 lignes.

Mon histoire, est la même que la votre. Seuls les détails, les points de vue ainsi que les protagonistes divergent. Nos histoires sont les mêmes. Tragédie. Leur coeur est identique. Manipulation. Leur dénouement suit le même schéma complexe. But. Leur fin découle de la même histoire. Survivre.
La vie est une sorte de jeu de survit dont le niveau de difficulté varie en fonction des gens. Faibles. Dangereux. Timide. Sadique.
La société n'est là que pour cacher l'horrible réalité de ceux qui part leur position au pouvoir, se croient maître de nos vies !
C'est si facile pour eux de nous voir tenter de sauver notre peau. Chaque jour je fais le vœu qu'il soit pour une semaine à notre place, traçant notre vie tant bien que mal pour intégrer leur cercle si fermer.
Qu'ils aillent crever ! Je les hais. Je hais ma vie. Je hais la société. Ô toi qui te dit notre Dieu ! Pourquoi nous as tu tourné le dos ! Tu es comme eux après tout ! Tu te ris de nous, pauvres larves grouillantes sous ton regard divin.
Dans ton palais de pierre, tes dalles de marbres sont autant de richesse qu'elle n'émouvoie pas ton coeur, gris et terne comme les mur de ta demeure.
Dieu tout puissant... Dieu impuissant.
Et moi du haut de mes neuf ans. Sauvageonne aux cheveux de feu, j'arpente cette Terre honnie. Quand à ma famille, elle a préféré te rejoindre, Toi si glorieux, dans ta demeure froide comme une nuit d'hiver. Je n'ai pas besoin de famille.
Je hais ma soit disant famille ! Je hais cette société pourrie de l'intérieur et qui se répand comme une gangrène ! Je hais cette Terre qui me porte alors que la folie des Hommes la détruit et qu'elle se laisse faire, passive !
En ce monde, rien ne me retiens, alors pourquoi vivre ?
Ma vie n'a jamais été facile. Elle a té parsemé d'embûches. Tôt j'ai du apprendre, le vol, comment me faire de l'argent, et surtout, j'apprenais à haïr ces femmes qui vendent leurs corps en cachette pour ce faire de l'argent. Et ces hommes au regard avide et empli de désir. Je les haïssais. Oui, je hais beaucoup de chose. Et une chose en entraînant une autre, je me suis mise à ne plus faire confiance aux hommes et à leurs sourires charmeur. Ils sont tous pareil, ils veulent nous mettre dans leur lit, c'est tout.
Alors moi, du haut de mes 11 ans, je regardais cet homme, accompagné d'un jeune qui devait pas être un peu plus âgé que moi, approcher avec un sourire qui se voulait rassurant. Je me méfiait, et mes cheveux roux et terne, mes vêtements sales et déchirés et mes yeux brillants de méfiance hurlaient ma vie au visage de cet homme. Ils criaient silencieusement ma souffrance. L'homme leva la main dans une sorte de geste apaisant. Je me braquais et il arrêta son geste, un éclat de douleur et de peine semblait briller dans ses yeux. J'étais tendus, j'avais tout de l'animal sauvage, ou de la sauvageonne. J'étais prête à fuir. L'homme se mit à parler, cela faisait longtemps que je n'avais pas fait attention au sens des mots. Alors je me concentrais, tout en restant sur mes gardes.
Un orphelinat ? J'avais perdu toute ma sociabilité. Je hais la société, alors je n'allais pas leur faire le plaisir d'être sociable. Cela du se voir sur mon visage car l'homme grimaça et me demanda si je voulais quand même faire un essai.
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Je regardais par la fenêtre les nuages cotonneux qui parsemais le ciel. Ces souvenirs étaient amusants, j'avais changé. En arrivant à l'Orphelinat j'avais été surprise, de la joie sur les visages et sur l'ambiance chaleureuse du lieu. Je m'étais de nouveau crispé et j'avais suivis l'homme sans un regard en arrière. Il avait échangé quelques mots avec le plus vieux et celui ci avait rejoint les autres. J'avais été conduit dans une salle de bain. Depuis combien de temps n'en avais-je pas vu ? L'homme me laissa avec une femme dans la salle d'eau qui me souriait doucement. Il avait du lui parler, car quand je la contournais sans qu'elle ne fasse le moindre geste, je me détendis légèrement. Je retirais les habits que je portais jusqu'à maintenant et les laissais à même le sol. J'avais sauté dans l'eau du bain et m'étais complètement détendu. Je n'avais même pas réagi quand la femme avait entreprit de savonner mais cheveux sale. Mon séjour dans la salle de bain m'avais rendu plus humaine. J'avais toujours le teint blafard et j'étais trop maigre pour mon propre bien mais mes cheveux avaient repris leur éclat de feu d'autrefois ainsi que leur souplesse et leurs boucles naturelles. Après au moins trois shampoing bien fort.
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La jeune femme qu'elle était maintenant possédée un corps svelte et taillé par ses deux ans de vie de rue. Sa peau était blanche mais plus blafarde et ses yeux avaient recouvrés un éclat de vie pure et de joie, toujours néanmoins teinté par la noirceur de sa haine. Elle jeta un coup d'oeil à l'horloge et se s'étira comme un chat, sortant de son lit pour se préparer pour ses cours.
Après avoir finit ses études elle avait continuait ici en tant que professeur de Philosophie. Les élèves allaient en baver !